Ce message traite de la question « Peut-on perdre son salut ? ». Le prédicateur commence par expliquer qu’il est essentiel de dissocier le principe céleste du principe terrestre pour bien comprendre cette question.
Il rappelle que le salut offert par Jésus dans sa dimension céleste est parfait et accompli. Mais sur terre, le salut est encore en devenir, c’est une espérance qui s’accomplira pleinement lors du retour de Jésus. Entre temps, les chrétiens sont appelés à « tenir ferme jusqu’à la fin » dans la foi et l’obéissance.
De nombreux passages bibliques sont cités pour montrer qu’il est en effet possible de renoncer à sa foi, de renier Jésus après l’avoir suivi, et donc de se détourner du salut après y avoir goûté. Des exemples concrets sont donnés de personnes s’étant égarées, ayant abandonné la voie de Christ.
Le prédicateur résume : tant que nous demeurons attachés à Jésus et fidèles à sa Parole jusqu’au bout, nous serons sauvés. Mais si nous cessons de porter du fruit ou si nous nous détournons dans l’apostasie, nous risquons de perdre ce salut qui nous était destiné.
Il conclut en appelant à tenir ferme chaque jour dans notre marche avec le Seigneur, à demeurer des sarments attachés au cep de vigne qu’est Jésus, pour que sa vie puisse couler en nous et nous permettre de porter du fruit pour le salut éternel.
Le salut parfait du côté du Christ peut être perdu si l’homme de son côté renonce à la foi ; d’où l’appel à tenir ferme par la grâce de Dieu.