Le prédicateur Félix Bernardini commence par rappeler que l’Évangile est le moyen par lequel une relation est rétablie entre la terre et le ciel, relation qui avait été rompue par le péché. Il lit ensuite Jean 1:51 où Jésus dit « vous verrez désormais le ciel ouvert ».
Le message porte donc sur le fait que le ciel est ouvert pour chacun par Jésus-Christ. Cependant, beaucoup de chrétiens vivent comme si le ciel était fermé, sans joie ni vie spirituelle. Le pasteur explique qu’il y a des conditions pour voir le ciel ouvert ou rouvert sur nos vies.
Premièrement, il faut naître de nouveau (Jean 3). Sans la nouvelle naissance, nous restons aveugles aux réalités spirituelles. Le baptême biblique symbolise cette nouvelle naissance par immersion, image de la mort à notre ancienne vie pour ressusciter dans une vie nouvelle avec Christ.
Deuxièmement, prier permet d’établir un contact avec le ciel qui s’ouvre alors (Luc 3:21-22). Une vie de prière nourrit l’âme et nous prépare à affronter les difficultés.
Troisièmement, garder ses yeux fixés sur Jésus, comme le premier martyr Étienne (Actes 7:55-56). Même dans la souffrance la plus extrême, la vision de la gloire céleste nous soutient.
Le pasteur conclut en rappelant que le ciel peut s’ouvrir ce soir pour chacun : par la nouvelle naissance, par la prière avec un cœur ouvert, et en regardant à Jésus avec foi. Quelles que soient nos difficultés, si nous croyons que le ciel est fermé, c’est une erreur ! Le ciel est grand ouvert pour quiconque se tourne vers Dieu.
Ce message rappelle l’accès au ciel rendu possible par Jésus, mais montre que beaucoup de chrétiens ne vivent pas cette réalité. Le pasteur explique comment concrètement faire l’expérience du ciel ouvert dans nos vies : par la conversion, la prière et le regard sur Jésus. Son but est d’encourager chacun à recevoir l’Esprit de Dieu qui ouvre nos yeux au surnaturel.